- Article de l'EOPP sur la txonomie de Foc TR4
- Retour sur l’atelier virtuel du 24 mars 2022 organisé par la CIPV et la FAO autour du diagnostic de FocTR4. Accès direct au streaming ici : https://www.ippc.int/es/news/workshops-events/webinars/workshop-series-fusarium-tr4-diagnostic-surveillance-inspection-and-simulation-exercise/ (en anglais avec sous-titres en français ou espagnol au choix).
- Les membres de l'Association européenne des producteurs de bananes (APEV) d'Équateur, de Colombie et du Guatemala prennent position pour une production durable de la banane . Ils préconisent notamment de revoir le prix des boîtes de bananes afin de tenir compte des impacts sociaux, environnementaux et économiques que subiraient les pays producteurs s'ils ne se protégeaient pas des menaces phytosanitaires comme FocTR4.
- Cette étude montre que la mauvaise herbe courante dans les bananeraies, Eleusine indica, pourrait servir de réservoir pour FocTR4 dans les plantations. Cela suggère que la gestion de la fusariose des bananiers devrait aussi prendre en considération les mauvaises herbes présentes dans les bananeraies.
- Le président de la Fédération nationale des producteurs de bananes de l'Équateur tire la sonnette d'alarme concernant le fait que les producteurs équatoriens ne sont pas préparés pour donner l'alerte en cas d'introduction ou émergence de FocTR4 sur le territoire nationale et que les contrôles ainsi que les moyens pour mettre en place des mesures adaptées sont quasi inexistantes.
- Mise en place d'une norme ISO IEC/17025:2017 pour l'amélioration et la fiabilité des processus et des résultats dans les laboratoires de diagnostic phytosanitaire de la zone bananière.
- Mise en place d'une norme ISO IEC/17025:2017 pour l'amélioration et la fiabilité des processus et des résultats dans les laboratoires de diagnostic phytosanitaire de la zone bananière.
- Des semis in vitro de variétés de bananes, d'Embrapa Mandioca e Fruticultura (Cruz das Almas, BA), sont parvenus en Colombie. Le matériel qui vient d'être planté dans la station de quarantaine de l'Instituto Agropecuario Colombiano ( ICA ), puis ira dans six mois en serre pour vérifier une éventuelle résistance à FocTR4.
- La Colombie abrite beaucoup de grands et moyens producteurs de bananes, avec notamment 532 fermes de petits producteurs associés en 6 coopératives de bananes d'exportation. Le cout des mesures de surveillance et de gestion pour lutter contre FocTR4 et éviter sa dispersion a couté cette année près de 900 000 dollars. L'impact économique de FocTR4 en Colombie se traduit pour les producteurs par une augmentation des coûts de production de 3 dollars par boîte de banane d'exportation. Or l'augmentation de cout prévu aux contrats en moyenne en décembre n'était que de 1,60 dollars , ce qui indique une perte financière pour les producteurs et un risque pour l'emploi et le développement pour les régions.
- Une réunion s'est tenue avec le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, l'ICA, l'Asbama,l' Augura, l'Agrosavia, la Police nationale, l'Agence de développement rural afin de renforcer let intensifier es mesures de contrôle pour contenir et prévenir FocTR4 dans toute la Colombie.
- Agrocalidad, l'Agence de réglementation et de contrôle de la santé végétale et animale renforce les mesures de surveillance pour éviter l'introduction de FocTR4 en Equateur. Des points de contrôle ont été mis en place dans les sites de production de musacée ainsi qu'au niveau des ports, aéroports et lieux de passages frontaliers. Une liste d'actions réalisées dans ce cadre entre juillet 2021 et janvier 202 est précisée dans l'article.
- Plusieurs responsables de réseaux de producteurs de bananes équitables d'Amérique latine et des Caraïbes tirent la sonnette d'alarme et appellent ,dans un article publié dans Le Monde, à une responsabilité sociale partagée de l'ensemble chaîne d'approvisionnement de la banane. Car en 2021, on a observé une baisse des prix descendue à 11,35 dollars (USD) et une hausse des coûts de production de 6 %, faisant perdre de l'argent aux producteurs.
- La Colombie abrite beaucoup de grands et moyens producteurs de bananes, avec notamment 532 fermes de petits producteurs associés en 6 coopératives de bananes d'exportation. Le cout des mesures de surveillance et de gestion pour lutter contre FocTR4 et éviter sa dispersion a couté cette année près de 900 000 dollars. L'impact économique de FocTR4 en Colombie se traduit pour les producteurs par une augmentation des coûts de production de 3 dollars par boîte de banane d'exportation. Or l'augmentation de cout prévu aux contrats en moyenne en décembre n'était que de 1,60 dollars , ce qui indique une perte financière pour les producteurs et un risque pour l'emploi et le développement pour les régions.
- La maladie de Moko, causée par la bactérie Ralstonia solanacearum race 2, après avoir été détectée pour la première fois en Equateur en 1978, à Napo, s'est propagée à travers le payspour atteindre aujourd'hui les zones d'Esmeraldas , Manabí, Los Ríos, Cotopaxi, El Oro, Santo Domingo ou Sucumbíos. Un Plan national a été mis en place en 2015 pour éradiquer la maladie, mais les mesures associées ne semblent pas avoir beaucoup d'effet sur le terrain car jugées insuffisantes par des professionnels de la filière. L'actuel ministre de l'Agriculture, admet que la question mérite attention, mais que des travaux en collaboration avec Agrocalidad et l'Iniap (Institut national de la recherche agronomique) travaillent au développement de moyens de lutte, notamment à travers l'utilisation de champignons Trichoderma. Article source : https://www.expreso.ec/actualidad/economia/moko-banano-amenaza-silenciosa-121561.html
- La fusariose TR4 s'est propagée au Pakistan, depuis son premier signalement dans le district de Thatta (Sindh) autour de 2011, elle a été détéctée récemment dans le district de Tando Allahyar (Sindh). Le Bunchy Top a également été détecté dans la province du Sindh qui a causé la destruction des bananes dans différentes régions.
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