La FAO communique sur la santé des plantes et son impact.

• Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Généralités
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: Non
  Type de veille: Actualité
  Numéro semaine: 30

L'activité humaine est le facteur n°1 de propagation des organismes nuisibles dans le monde et par conséquences des maladies associées à ces organismes nuisibles. Dans une vidéo, Lava Kumar (chef d'unité du matériel génétique, de virologie et de diagnostic moléculaire en santé des plantes de l'IITA) explique comment l'activité humaine propage ces maladies, comment on peut limiter et freiner leurs conséquences.

• Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Généralités
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: Non
  Type de veille: Actualité
  Numéro semaine: 18

Le plan de prévention de la filière betterave-sucre s’organise et a été remis à Julien Denormandie. Des actions concrètes pour aider la filière sont mises en avant.

• Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Généralités
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: Non
  Type de veille: Actualité
  Année et Pays sujet : 2020, France
  Numéro semaine: 42

• Intercitrus appelle l’Union européenne à prendre des mesures drastiques contre la détection du vecteur HLB à Chypre 6 septembre, 2023 Facebook (en anglais) Gazouiller La Méditerranée et l’UE restent la seule grande zone de production d’agrumes qui résiste à la présence de la maladie la plus dévastatrice, causée par la bactérie Candidatus liberibacter qui cause Huanglongbing ou HLB (également connue sous le nom de verdissement ou « dragon jaune »). Mais cette situation est aujourd’hui doublement menacée: par l’expansion déjà connue dans le nord de l’Espagne et sur presque toute la côte atlantique du Portugal de Trioza erytreae – l’insecte vecteur de la souche africaine « la plus bienveillante » de HLB – et par la présence, pour la première fois sur le territoire de l’UE, de Diaphorina citri, qui est le psylle asiatique le plus efficace porteur de la souche la plus agressive et la plus mortelle pour les agrumes. HLB agrumes Apparition d’adultes et de nymphes de D. citri. Cela vient d’être confirmé dans son dernier rapport de l’Organisation européenne et méditerranéenne pour la protection des plantes (OEPP), qui indique que l’insecte a été localisé à Chypre et confirmé par le laboratoire européen de référence, plus précisément dans la municipalité d’Asómatos (district de Limassol). Un constat à ajouter à la détection de ce même vecteur, confirmé en janvier 2022, en Israël, qui ratifierait sa capacité à s’étendre en Méditerranée. Tant qu’il s’agit d’un insecte réglementé et mis en quarantaine, porteur d’une maladie dont la prévention, la lutte et la détection sont classées comme « prioritaires » – le HLB – les mesures d’éradication à adopter à Chypre doivent être immédiates. L’Interprofesional Citrícola Española (Intercitrus) demande à la Commission européenne (CE) de s’assurer de son degré de conformité et, compte tenu de la gravité de ce qui s’est passé, d’ouvrir une enquête sur l’origine du foyer (que le Parquet européen ne détaille pas), de superviser et de collaborer financièrement à l’exécution de ces actions. « La présence dans notre pays d’un ou pire, le risque croissant d’avoir les deux porteurs de HLB, nous fait penser que l’arrivée de la bactérie la plus redoutée, contre laquelle il n’y a pas de remède et qui a pu réduire à ne rien pratiquer la culture des agrumes de Floride et diminuer de manière patente celle du Brésil, ce n’était peut-être qu’une question de temps », a déclaré le président d’Intercitrus, Inmaculada Sanfeliu. HLB agrumes Image d’un D.citri adulte perché sur une feuille. L’interprofessionnel appelle les autorités des autonomies à production d’agrumes, le gouvernement et la CE à contribuer à renforcer « immédiatement » les mesures de prévention et les axes de recherche ouverts pour la lutte biologique contre ces vecteurs -contre lesquels il n’y aurait pas d’insecticides efficaces autorisés dans l’UE-, pour l’obtention de modèles ou de variétés résistants ou tolérants à la maladie ainsi que les contrôles sur le terrain pour leur détection précoce et celles fixées à la frontière pour empêcher l’accès. L’interprofessionnel, même et compte tenu des avantages globaux pour la santé des végétaux de la production européenne de fruits et légumes, appelle la CE à étudier la possibilité de suivre l’exemple d’autres puissances occidentales – telles que les États-Unis, l’Australie ou le Japon – et à introduire une certaine exigence de contrôle de l’introduction de matériel végétal dans les bagages des passagers entrant dans l’UE. Une telle mesure serait essentielle pour empêcher l’entrée de HLB ou de ses vecteurs dans la culture européenne des agrumes, car pour cela, il est essentiel de contrôler que dans le trafic commercial ou dans la circulation des personnes, il n’y a pas de matériel végétal hôte. Cette mesure, ajoutée aux restrictions et contrôles en vigueur, serait en revanche cohérente avec l’étape qui impliquait d’approuver, pour la prévention de la « fausse teigne », le traitement par le froid pour les oranges (que ces pays appliquent déjà et font, à la place, pour toutes les espèces d’agrumes). Diaphorina citri est le vecteur qui contribue le plus et le mieux à la propagation des espèces asiatiques de la bactérie Candidatus Liberibacter asiaticus, la plus destructrice: une fois infectés, les arbres meurent inévitablement dans une période maximale de huit ans, en fonction de l’âge et des conditions de la culture. Il peut également transmettre Can- didatus Liberibacter africanus' et Candidatus Liberibacter americanus et dans les zones où ces trois bactéries coexistent, il peut les transmettre sans discernement. Contrairement au psila africain (T. erytreae), qui cause des dommages directs aux arbres (les nymphes se nourrissent de la sève des Rutacées et provoquent des déformations frappantes dans les feuilles), D. citri en soi n’est pas un ravageur nuisible mais cela le rend plus « furtif », plus compliqué à détecter. Une étude de l’Institut valencien de recherche agricole (IVIA)-Université Jaume I et de l’Université de Floride, a prouvé que le modèle sur lequel repose la grande majorité des orangers et des mandariniers en Espagne – le roseau Citrange – « est un hôte extrêmement favorable pour le développement et la reproduction » de ce psila. En effet, le vecteur originaire d’Asie est responsable de la propagation de la maladie dans deux des principales et des plus avancées régions productrices du monde : le Brésil et les États-Unis. La stratégie suivie dans le premier cas, basée sur le renouvellement constant, l’arrachage des arbres infectés lorsqu’ils ne sont pas abandonnés et l’expansion à de nouvelles plantations mais, surtout, sur le « bombardement » des fermes avec des traitements phytosanitaires contre les psylles, a été relativement réussie pendant des décennies et a permis à l’industrie brésilienne de se consolider comme le premier exportateur de jus d’orange dans le monde, mais la formule semble avoir été épuisée. Aujourd’hui, après six années consécutives d’incidence croissante, la maladie dans toute la ceinture d’agrumes de São Paulo et du sud-ouest des mines est présente dans 38% des arbres et la raison de cette évolution est le manque de contrôle de la population de D. citri, qui est devenue résistante aux insecticides les plus efficaces utilisés jusqu’à présent. En Floride, par contre, la présence de HLB a été confirmée en 2005 mais la maladie a dû se calmer des années auparavant: lors de la saison 1997/98, elle a atteint son record de production avec 12,3 millions de tonnes (Tm); Aujourd’hui, ce chiffre a été réduit à 740 534 tonnes, le plus bas depuis 1930. “España, en caso de que el HLB llegase, difícilmente podría contener la enfermedad y es casi seguro que la bacteria acabaría con nuestro sector a medio plazo”, advierte Sanfeliu. Extrapolando las cifras de la evolución experimentada en Florida, en 7,5 años desde su posible entrada, la producción de naranjas, mandarinas y limones quedaría reducida a la mitad (de 7 millones de Tm a 3,6) y a los 15 años la citricultura pasaría a ser un cultivo residual. La estructura minifundista y las más estrictas regulaciones europeas en materia medioambiental y de fitosanitarios –que prohíben los piretroides y neonicotinoides usados contra la D.citri– dejarían menor margen para la reacción a España que el que ha tenido Brasil o Florida. “Debemos ganar tiempo para encontrar soluciones con las que combatir la enfermedad”, concluye la presidenta de Intercitrus.
  Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Candidatus Liberibacter spp.
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: BHV-SV 2023/35
  Année et Pays sujet : , Chypre
• Cyprus - The most dangerous vector of HLB, the most devastating citrus disease, has been detected
  Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Candidatus Liberibacter spp.
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: BHV-SV 2023/35
  Année et Pays sujet : , Chypre
• Journal en ligne d’information : actualités sur la forêt, le bois, l’arbre hors forêt
  Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Ceratocystis platani
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: BHV-SV 2025/07
  Année et Pays sujet : , France
• Kifissia
  Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Xylotrechus chinensis
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: BHV-SV 2024/37
  Année et Pays sujet : , Grèce

• The most dangerous vector of HLB, the most devastating citrus disease, has been detected in Europe
  Sources: Sources médiatiques
  Organisme nuisible: Candidatus Liberibacter spp.
  Paru dans le bulletin hebdomadaire: BHV-SV 2023/35
  Année et Pays sujet : , Chypre