Épidémiosurveillance en Santé Végétale

Moteur de recherche VSI


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Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Evolution de l'état sanitaire

Premier signalement de Xanthomonas campestris pv. campestris provoquant la pourriture noire du colza (Brassica napus L.) en France (départements d’Ille-et-Vilaine (35) et de Maine-et-Loire (49)). Ce premier signalement en France et la récente identification en Serbie (Popovic et al., 2013) peuvent illustrer l’émergence de la maladie sur cette culture en Europe.

Premier signalement du ToBRFV infectant Solanum lycopersicum dans le nord-est de la Chine

Premier signalement des virus du type bunya : CCGaV (citrus concave gum-associated virus), ARWV1 et 2 (apple rubbery wood viruses 1 et 2), ALV-1 (apple luteovirus 1), et du viroïde AHVd (apple hammerhead viroid) dans des pommes en Turquie (province de Hakkari).

Cet article porte sur l’étude de la dynamique de la bactérie Xylella fastidiosa dans les amandiers, à différents stades de développement. L’étude de la progression des symptômes de brûlure des feuilles d’amandier infectés a montré qu’une fois les symptômes apparus sur une branche, les branches asymptomatiques étaient probablement déjà infectées par la bactérie. Ceci suggère que la taille sélective des branches symptomatiques ne permette pas de conduire à la guérison de l’arbre. Des résultats de cette étude apporte néanmoins une meilleure compréhension de la dynamique de X. fastidiosa dans les amandiers susceptibles d’avoir des applications pratiques pour la détection et le contrôle de la bactérie.


Organisme nuisible: Xylella fastidiosa | Catégorie : Méthode et mesure de lutte

Cet article porte sur l’étude de la dynamique de la bactérie Xylella fastidiosa dans les amandiers, à différents stades de développement. L’étude de la progression des symptômes de brûlure des feuilles d’amandier infectés a montré qu’une fois les symptômes apparus sur une branche, les branches asymptomatiques étaient probablement déjà infectées par la bactérie. Ceci suggère que la taille sélective des branches symptomatiques ne permette pas de conduire à la guérison de l’arbre. Des résultats de cette étude apporte néanmoins une meilleure compréhension de la dynamique de X. fastidiosa dans les amandiers susceptibles d’avoir des applications pratiques pour la détection et le contrôle de la bactérie.

Cette étude conduite en 2018 et 2019 dans le nord-ouest du Sénégal a évalué deux bioinsecticides pour lutter contre Spodoptera frugiperda sur les feuilles et les épis de maïs. Les résultats ont été comparés à ceux obtenus avec deux insecticides chimiques courants, ils ont montré que les formulations d’azadirachtine (extraite des graines d'Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis ont réduit de manière significative les dommages causés par la chenille légionnaire d’automne sur les feuilles, et le rendement total du maïs a été au moins doublé.

Dans cette étude trois insecticides ont été évalués et comparés pour lutter contre la légionnaire d’automne. Il s’agissait de traitements à base de spinétorame, de Bacillus thuringiensis et de chlorpyrifos. Le traitement à base de spinétorame s’est avéré le plus efficace tout au long du cycle phénologique du maïs, même si le produit était appliqué le moins fréquemment.


Organisme nuisible: Popillia japonica | Catégorie : Echelle de la population

Dans cette étude, les sources d’introduction de Popillia japonica ont été reconstruites à l’aide d’une approche moléculaire ciblant 9 loci microsatellites et deux gènes mitochondriaux, COX I et CytB chez plus de 200 individus échantillonnés à travers le monde. Les résultats indiquent qu’une zone limitée du centre du Japon pourrait être à l’origine de la population nord-américaine. Deux introductions indépendantes seraient à l’origine des deux populations européennes : les îles des Açores à partir de la région sud-est de l'Amérique du Nord, et Italie - Suisse à partir de la région nord-est de l'Amérique du Nord.


Organisme nuisible: Popillia japonica | Catégorie : Echelle génétique et moléculaire

Dans cette étude, les sources d’introduction de Popillia japonica ont été reconstruites à l’aide d’une approche moléculaire ciblant 9 loci microsatellites et deux gènes mitochondriaux, COX I et CytB chez plus de 200 individus échantillonnés à travers le monde. Les résultats indiquent qu’une zone limitée du centre du Japon pourrait être à l’origine de la population nord-américaine. Deux introductions indépendantes seraient à l’origine des deux populations européennes : les îles des Açores à partir de la région sud-est de l'Amérique du Nord, et Italie - Suisse à partir de la région nord-est de l'Amérique du Nord.


Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Notifications de nouveaux cas

L’hémiptère Melanaspis corticosa émerge depuis 2016 dans les oliveraies de la région de l’Algarve au sud du Portugal mais identifié qu’en 2022. Ce ravageur jusqu’alors inconnu en dehors de l’Afrique sub-saharienne, présente une résistance aux traitements insecticides.