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Épidémiosurveillance en Santé Végétale

Moteur de recherche VSI

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Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Estimation du risque épidémiologique

Une approche intégrative combinant données omiques, biochimiques et spectroscopie Raman peut identifier les voies végétales réagissant aux pathogènes. La plateforme Plant Reactome (https://plantreactome.gramene.org) illustre l'analyse des interactions plantes-pathogènes via des données publiques sur le riz et le maïs. Ces signatures pourraient améliorer la télédétection par drones et satellites pour une surveillance précoce des épidémies.

Cet article traite de l’approche collaborative dans la gestion de biosécurité des arbres urbains à travers une enquête conduite dans 19 pays. Les résultats de l’enquête ont permis d’identifier 953 parties prenantes concernées et 255 d’entre elles considèrent être particulièrement préoccupées dans le futur par Xylella fastidiosa et Agrilus planipennis. Les résultats de l’étude ont souligné que les mesures de biosécurité les plus largement adoptées par les parties prenantes sont celles liées à la communication, à la fois au grand public (information) et aux acteurs impliqués dans la biosécurité (formation).

Les effets mondiaux du changement climatique sur les interactions entre les nématodes du pin (PWN), les hôtes et les insectes vecteurs sont mal compris. Une étude utilisant le modèle biomod2 et tenant compte de la disponibilité en hôte ainsi que de la répartition des différents vecteurs possible, a permis de prédire la répartition géographique du PWN jusqu'en 2090 selon trois scénarios d’émissions de gaz à effet de serre. Les prédictions indiquent une migration vers des latitudes plus élevées et une extension en Amérique du Nord et en Europe, des zones à haut risque concernant notamment les hôtes et les vecteurs du PWN.

Une étude en Corée du Sud a permis de développer un modèle semi-dynamique pour prédire mensuellement la probabilité d’apparition de la maladie du flétrissement du pin (PWD), causée par Bursaphelenchus xylophilus. Intégrant des facteurs climatiques et anthropiques, ce modèle identifie les zones à haut risque, avec une surveillance renforcée pendant l’été en raison de l’activité vectorielle accrue. Une carte de gestion cible les régions nécessitant une intervention prioritaire tout au long de l’année. Cette approche innovante fournit des outils pour des stratégies efficaces de prévention et de gestion des maladies forestières.

Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Méthode, outil et mesure de surveillance

Une approche intégrative combinant données omiques, biochimiques et spectroscopie Raman peut identifier les voies végétales réagissant aux pathogènes. La plateforme Plant Reactome (https://plantreactome.gramene.org) illustre l'analyse des interactions plantes-pathogènes via des données publiques sur le riz et le maïs. Ces signatures pourraient améliorer la télédétection par drones et satellites pour une surveillance précoce des épidémies.

Organisme nuisible: Agrilus planipennis | Catégorie : Risque et impact socio-économique et environnemental

Cette étude évalue la régénération des frênes après l’invasion d’Agrilus planipennis dans quatre zones du Michigan. Malgré une forte mortalité des arbres adultes (>10 cm DBH, 47% morts), la régénération reste abondante : 470 recrues/ha, 2599 jeunes arbres/ha et 4557 semis/ha. Environ 33% des recrues montrent des signes d’infestation. La densité de frênes vivants est inversement corrélée à celle de Quercus rubra et Tilia americana. Ces résultats suggèrent une régénération importante malgré les pertes, mais la persistance des frênes reste incertaine.

Organisme nuisible: Spodoptera frugiperda | Catégorie : Méthode et mesure de biocontrôle

Cette étude examine l’impact de l’infestation par Spodopetra frugiperda sur la production de maïs, la commercialisation des petits exploitants, la répartition de la main-d’œuvre et le bétail au Kenya, tout en analysant les connaissances et les stratégies de contrôle des agriculteurs. Les résultats révèlent que 95 % des agriculteurs reconnaissent le ravageur avec un taux d’infestation de 75 %, entraînant une baisse de 25 % de la production de maïs et une réduction de 23 % de la commercialisation. L’étude met en évidence un compromis entre l’utilisation de pesticides et les méthodes alternatives et souligne le rôle du comportement des agriculteurs dans les stratégies efficaces de lutte contre les ravageurs.

L’étude compare la performance de deux parasitoïdes larvaires, Spathius agrili et S. galinae, contre l’agrile du frêne (Agrilus planipennis) sous différentes températures (de 17,2 à 32,8 °C). S. agrili a montré un taux maximal de parasitisme (~90 %) à 28,9 °C et pouvait parasiter l’hôte sur toute la plage de températures testée. En revanche, S. galinae n’en avait pas la capacité à 32,8 °C et a atteint son taux maximal (~92 %) à 25 °C. Ces résultats indiquent que S. agrili est mieux adapté aux climats chauds du sud des États-Unis, tandis que S. galinae convient mieux aux régions nordiques.

Organisme nuisible: Spodoptera frugiperda | Catégorie : Méthode et mesure de lutte

Cette étude examine l’impact de l’infestation par Spodopetra frugiperda sur la production de maïs, la commercialisation des petits exploitants, la répartition de la main-d’œuvre et le bétail au Kenya, tout en analysant les connaissances et les stratégies de contrôle des agriculteurs. Les résultats révèlent que 95 % des agriculteurs reconnaissent le ravageur avec un taux d’infestation de 75 %, entraînant une baisse de 25 % de la production de maïs et une réduction de 23 % de la commercialisation. L’étude met en évidence un compromis entre l’utilisation de pesticides et les méthodes alternatives et souligne le rôle du comportement des agriculteurs dans les stratégies efficaces de lutte contre les ravageurs.

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