Épidémiosurveillance en Santé Végétale

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Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Evolution de l'état sanitaire

Signalement en Allemagne de Allium cepa (oignon) en tant que nouvel hôte de ‘Candidatus Arsenophonus phytopathogenicus’, un organisme généralement associé à des maladies touchant la betterave sucrière ou la pomme de terre.

La présence de la sous-espèce de Xylella fastidiosa a été détectée sur deux espèces de cistes (Cistus sp.), un genêt nedro (Cytisus villosus), un genêt noir (Cytisus scoparius) et un cantueso (Lavandula sp.) dans la zone montagneuse de Valencia de Alcántara. Des mesures d’éradication ont été rapidement mises en œuvre à la suite de cette détection. Un programme de surveillance spécifique a été mené en juin, ciblant les espèces végétales testées positives dans les zones limitrophes du Portugal et susceptibles d’être des hôtes de Xylella fastidiosa subsp. pauca. Un programme d’éradication a été lancé en Estrémadure conformément au Plan d’urgence du Ministère de l’Agriculture, avec une durée prévue de quatre ans. Ce programme inclut la délimitation d’une zone infectée de 50 mètres autour de chaque échantillon positif, ainsi qu’une zone tampon de 2,5 km de large, où des mesures d’éradication seront appliquées. Les plantes infectées et celles de la même espèce seront immédiatement éliminées dans la zone infectée, tandis que des traitements insecticides seront utilisés contre les vecteurs. La prospection et l’échantillonnage se poursuivront pour détecter d’autres plantes potentiellement infectées. Enfin, des mesures seront prises pour gérer le transfert de certains légumes cultivés à l’intérieur de la zone délimitée vers l’extérieur, afin de limiter la propagation de la bactérie.

En 2007, Bactrocera dorsalis a été détectée pour la première fois à Mayotte. La gamme d’hôtes de cette espèce de mouche de fruits a été analysée à partir de deux campagnes de terrain réalisées de 2012 à 2014 et de 2019 à 2021 dans des zones cultivées et/ou non-cultivées. Au total, 102 espèces végétales ont été échantillonnées, dont 18 communes aux deux campagnes. Six espèces de mouches des fruits, dont les espèces communes Dacus ciliatus, Neoceratitis cyanescens, Ceratitis capitata, B. dorsalis et deux espèces plus rares, Dacus etiennellus et Trirhithrum nigerrimum ont été détectées. B. dorsalis est faiblement présente et détectée sur seulement sept espèces de plantes hôtes avec un taux d’infestation très faible. Comprendre les causes de cette faible incidence pourrait permettre de connaitre des facteurs pour réguler la population dans d’autres zones plus atteintes par la mouche des fruits.

Le HLB a été détecté dans deux vergers des municipalités de Campo Clean et de Quirinópolis (Etat de Goias, Brésil). A Quirinópolis, une seule plante Citrus sinensis sp. été positive et a été éradiquée ; tandis qu’à Campo Clean plusieurs plantes de Citrus reticulata Blanco ont été détectées positives et sont en cours d’éradication.

Cette étude porte sur la propagation spatio-temporelle de l’invasion naturelle du flétrissement du pin en Chine grâce à l’analyse de longues séries chronologiques à des échelles macroscopiques. Les mécanismes sous-jacents concernant les hôtes et le vent dans la propagation de la maladie ont été analysés et vérifiés par simulations. Les résultats montrent l’impact positif de la superficie et de la connectivité forestière ainsi que la vitesse et la fréquence du vent dans la propagation de la maladie. La superficie et la connectivité forestière sont de réels enjeux de gestion de la maladie en France.

Cette étude conduite en Indonésie, dans la ville de Batu et le district de Malang visait à surveiller la composition en espèces de Bactrocera et de leurs parasitoïdes dans des produits horticoles (e.g. pommes, gros piments, goyaves rouges, tomates). Six espèces de Bactrocera ont été identifiées à partir des 7 124 individus piégés/collectés dans le cadre de l’étude. Les espèces prédominantes capturées par les pièges à base de méthyleugénol étaient B. carambolae, B. dorsalis et B. papayae. Opius sp. est la seule espèce de parasitoïde à avoir été trouvée au cours de l’étude, dans les fruits de goyave rouge.


Organisme nuisible: Xylella fastidiosa | Catégorie : Méthode et mesure de lutte

La présence de la sous-espèce de Xylella fastidiosa a été détectée sur deux espèces de cistes (Cistus sp.), un genêt nedro (Cytisus villosus), un genêt noir (Cytisus scoparius) et un cantueso (Lavandula sp.) dans la zone montagneuse de Valencia de Alcántara. Des mesures d’éradication ont été rapidement mises en œuvre à la suite de cette détection. Un programme de surveillance spécifique a été mené en juin, ciblant les espèces végétales testées positives dans les zones limitrophes du Portugal et susceptibles d’être des hôtes de Xylella fastidiosa subsp. pauca. Un programme d’éradication a été lancé en Estrémadure conformément au Plan d’urgence du Ministère de l’Agriculture, avec une durée prévue de quatre ans. Ce programme inclut la délimitation d’une zone infectée de 50 mètres autour de chaque échantillon positif, ainsi qu’une zone tampon de 2,5 km de large, où des mesures d’éradication seront appliquées. Les plantes infectées et celles de la même espèce seront immédiatement éliminées dans la zone infectée, tandis que des traitements insecticides seront utilisés contre les vecteurs. La prospection et l’échantillonnage se poursuivront pour détecter d’autres plantes potentiellement infectées. Enfin, des mesures seront prises pour gérer le transfert de certains légumes cultivés à l’intérieur de la zone délimitée vers l’extérieur, afin de limiter la propagation de la bactérie.

Cette étude conclue que pour contrôler l’infestation de Spodoptera frugiperda dans la culture de maïs (cas du district de Ccasancca au Pérou) en utilisant le biocontrôle, il est nécessaire d’utiliser Metarhizium anisopliaea à la dose de 140 g/cylindre.


Organisme nuisible: Bursaphelenchus xylophilus | Catégorie : Méthode, outil et mesure de surveillance

Article sur le développement d’un leurre pour les pièges de Monochamus galloprovincialis (vecteur du nématode du pin) moins attractif pour insectes non-cibles.


Organisme nuisible: Bursaphelenchus xylophilus | Catégorie : Estimation du risque épidémiologique

Cette étude porte sur la propagation spatio-temporelle de l’invasion naturelle du flétrissement du pin en Chine grâce à l’analyse de longues séries chronologiques à des échelles macroscopiques. Les mécanismes sous-jacents concernant les hôtes et le vent dans la propagation de la maladie ont été analysés et vérifiés par simulations. Les résultats montrent l’impact positif de la superficie et de la connectivité forestière ainsi que la vitesse et la fréquence du vent dans la propagation de la maladie. La superficie et la connectivité forestière sont de réels enjeux de gestion de la maladie en France.