Épidémiosurveillance en Santé Végétale

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Organisme nuisible: Spodoptera frugiperda | Catégorie : Evolution de l'état sanitaire

Publication traitant de la capture d'individus de Spodoptera frugiperda sur l'ile de Malte en septembre 2023.

Cet article scientifique porte sur l’évolution de la zone infestée de Xylotrechus chinensis en Espagne (44 km2 en février 2018, 378 km2 en juillet 2020, 1134 km2 en décembre 2023) et sur la réduction de l’infestation via un traitement à base d’abamectine. Les auteurs recommandent de traiter au cours des 10 premiers jours d’octobre.


Organisme nuisible: Bactrocera dorsalis | Catégorie : Méthode et mesure de lutte

Cette étude scientifique a montré après évaluation de Beauveria bassiana (champignons entomopathogènes) que la souche B4 était la plus virulente envers Bactrocera dorsalis. Bien que cette souche soit susceptible d’affecter deux ennemis naturels du ravageur, elle présente un grand potentiel pour le contrôle biologique de B. dorsalis.

Considérant également le cas du dépérissement du frêne en Europe, cette revue aborde les avantages et les obstacles des approches de conservation visant à préserver la diversité génétique pendant les pandémies. Sur la base des études publiées et analysées sur la gestion de la crise du frêne, il ressort que la stratégie de ‘conservation active’ soit le moyen privilégié alors que la stratégie de ‘conservation paneuropéenne’ fasse défaut.

Cette revue porte sur les moyens de lutte biologique contre Spodoptera frugiperda dans les pays nouvellement envahis à l’aide d’agents pathogènes des insectes (nématodes, champignons, bactéries et virus).

Cet article scientifique porte sur l’évolution de la zone infestée de Xylotrechus chinensis en Espagne (44 km2 en février 2018, 378 km2 en juillet 2020, 1134 km2 en décembre 2023) et sur la réduction de l’infestation via un traitement à base d’abamectine. Les auteurs recommandent de traiter au cours des 10 premiers jours d’octobre.


Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Estimation du risque épidémiologique

Considérant également le cas du dépérissement du frêne en Europe, cette revue aborde les avantages et les obstacles des approches de conservation visant à préserver la diversité génétique pendant les pandémies. Sur la base des études publiées et analysées sur la gestion de la crise du frêne, il ressort que la stratégie de ‘conservation active’ soit le moyen privilégié alors que la stratégie de ‘conservation paneuropéenne’ fasse défaut.


Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Méthode, outil et mesure de surveillance

Considérant également le cas du dépérissement du frêne en Europe, cette revue aborde les avantages et les obstacles des approches de conservation visant à préserver la diversité génétique pendant les pandémies. Sur la base des études publiées et analysées sur la gestion de la crise du frêne, il ressort que la stratégie de ‘conservation active’ soit le moyen privilégié alors que la stratégie de ‘conservation paneuropéenne’ fasse défaut.

Cette étude a évalué sur le terrain différents attractifs secs synthétiques à base d’aliments pour la capture des mouches Tephritidae dont Bactrocera dorsalis. Ces attractifs ont été comparés à la solution standard de levure-borax torula. L’ensemble des résultats est discuté dans l’article

En Europe, des programmes annuels de surveillance de Xylella fastidiosa sont mis en place pour contrer les infections signalées dans les oliveraies du sud de l’Italie. Ces programmes incluent des inspections et des prélèvements sur les plantes hôtes, en se concentrant sur celles présentant des symptômes suspects ou connues pour être particulièrement sensibles aux diverses souches de la bactérie. Dans ce contexte, de nombreux foyers ont été découverts dans plusieurs pays européens, y compris la France, l’Espagne, le Portugal et l’Italie, où différentes souches et sous-espèces de Xylella fastidiosa infectent une variété d’hôtes. En particulier, dans la région des Pouilles (sud de l’Italie), un programme de surveillance intégré combine des inspections conventionnelles des plantes hôtes avec des tests ciblant X. fastidiosa et ses vecteurs. Cette approche a permis de découvrir, pour la première fois dans une zone exemptée de Xylella, la présence de coccinelles porteuses de la bactérie, près d’importantes zones de production de raisin de table. Ces découvertes ont mené à des recherches supplémentaires sur les plantes hôtes pour identifier le réservoir de la bactérie. L’amandier et la vigne ont été identifiés comme les hôtes les plus fréquemment infectés par des isolats de X. fastidiosa, sous-espèce fastidiosa ST1. Des enquêtes sont en cours pour déterminer l’étendue et l’historique de l’épidémie, évaluer ses impacts potentiels et définir les meilleures stratégies pour y mettre fin.