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Épidémiosurveillance en Santé Végétale

Moteur de recherche VSI

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Organisme nuisible: Fusarium oxysporum f. sp. cubense Tropical race 4 | Catégorie : Méthode et mesure de lutte

Cette étude a exploré la vulnérabilité des producteurs de bananes vis à vis de Foc TR4 en Colombie (départements Antioquia et Magdalena) à travers une analyse socioéconomique et des coûts-avantages. La valeur actuelle nette de la mise en œuvre de stratégies de prévention par hectare est autour de 100 000 USD et le rapport avantages-coûts autour de 3-4.

La présence de la sous-espèce de Xylella fastidiosa a été détectée sur deux espèces de cistes (Cistus sp.), un genêt nedro (Cytisus villosus), un genêt noir (Cytisus scoparius) et un cantueso (Lavandula sp.) dans la zone montagneuse de Valencia de Alcántara. Des mesures d’éradication ont été rapidement mises en œuvre à la suite de cette détection. Un programme de surveillance spécifique a été mené en juin, ciblant les espèces végétales testées positives dans les zones limitrophes du Portugal et susceptibles d’être des hôtes de Xylella fastidiosa subsp. pauca. Un programme d’éradication a été lancé en Estrémadure conformément au Plan d’urgence du Ministère de l’Agriculture, avec une durée prévue de quatre ans. Ce programme inclut la délimitation d’une zone infectée de 50 mètres autour de chaque échantillon positif, ainsi qu’une zone tampon de 2,5 km de large, où des mesures d’éradication seront appliquées. Les plantes infectées et celles de la même espèce seront immédiatement éliminées dans la zone infectée, tandis que des traitements insecticides seront utilisés contre les vecteurs. La prospection et l’échantillonnage se poursuivront pour détecter d’autres plantes potentiellement infectées. Enfin, des mesures seront prises pour gérer le transfert de certains légumes cultivés à l’intérieur de la zone délimitée vers l’extérieur, afin de limiter la propagation de la bactérie.

Organisme nuisible: Fusarium oxysporum f. sp. cubense Tropical race 4 | Catégorie : Méthode, outil et mesure de surveillance

Cette étude a exploré la vulnérabilité des producteurs de bananes vis à vis de Foc TR4 en Colombie (départements Antioquia et Magdalena) à travers une analyse socioéconomique et des coûts-avantages. La valeur actuelle nette de la mise en œuvre de stratégies de prévention par hectare est autour de 100 000 USD et le rapport avantages-coûts autour de 3-4.

Organisme nuisible: Xylotrechus chinensis | Catégorie : Evolution de l'état sanitaire

Le coléoptère invasif Xylotrechus chinensis (longicorne tigre) a été signalé pour la première fois en Europe en 2018, et sa propagation en Catalogne a été rapide atteignant une surface de 1134 km² en décembre 2023. Il menace les mûriers, avec une période de vol s’étendant de fin avril à octobre, probablement influencée par le changement climatique. Bien qu’un traitement à l’abamectine ait réduit l’infestation, il n’a pas éliminé complètement le ravageur, nécessitant des traitements supplémentaires, notamment en octobre ou juillet. La lutte contre ce ravageur sera difficile à court terme en raison des réinfestations annuelles.

Une étude sur le virus de la mosaïque du concombre (CMV) dans l'AOP Piment d'Espelette a révélé un variant du sous-groupe IB dominant dans 78 % des poivrons et 8 % des plantes environnantes. Cinq nouveaux hôtes naturels ont été identifiés, dont Arum italicum et Hyacinthoides sp.. Le sous-groupe II, rare, a été détecté sporadiquement. Présent depuis au moins 2009, ce variant IB du CMV illustre une faible diversité moléculaire, posant des questions sur sa propagation et son impact sur les cultures locales.

Lasiodiplodia theobromae, pathogène fongique responsable de la brûlure du rachis et d'autres symptômes sur cocotiers, a été signalé pour la première fois en Floride en 2023. Une incidence de 30 % et une gravité allant jusqu'à 100 % ont été observées. Des isolats fongiques obtenus à partir de tissus symptomatiques ont confirmé l'identité du pathogène par séquençage des régions ITS et TEF1-α. Les tests de pathogénicité ont montré des symptômes significatifs sur des plants inoculés. Ce pathogène constitue une menace pour la production de cocotiers en Floride, soulignant le besoin de recherches pour élaborer des stratégies de gestion.

Voici l’article scientifique portant sur le premier signalement de Clonostachys rhizophaga provoquant la pourriture des racines sur lentilles (Lens culinaris subsp. culinaris) en France et une pathogénicité croisée sur pois (Pisum sativum). Les résultats des analyses moléculaires et de pathogénie conduites suggèrent la possible pathogénicité de C. rhizophaga sur d’autres légumineuses.

La présence de la sous-espèce de Xylella fastidiosa a été détectée sur deux espèces de cistes (Cistus sp.), un genêt nedro (Cytisus villosus), un genêt noir (Cytisus scoparius) et un cantueso (Lavandula sp.) dans la zone montagneuse de Valencia de Alcántara. Des mesures d’éradication ont été rapidement mises en œuvre à la suite de cette détection. Un programme de surveillance spécifique a été mené en juin, ciblant les espèces végétales testées positives dans les zones limitrophes du Portugal et susceptibles d’être des hôtes de Xylella fastidiosa subsp. pauca. Un programme d’éradication a été lancé en Estrémadure conformément au Plan d’urgence du Ministère de l’Agriculture, avec une durée prévue de quatre ans. Ce programme inclut la délimitation d’une zone infectée de 50 mètres autour de chaque échantillon positif, ainsi qu’une zone tampon de 2,5 km de large, où des mesures d’éradication seront appliquées. Les plantes infectées et celles de la même espèce seront immédiatement éliminées dans la zone infectée, tandis que des traitements insecticides seront utilisés contre les vecteurs. La prospection et l’échantillonnage se poursuivront pour détecter d’autres plantes potentiellement infectées. Enfin, des mesures seront prises pour gérer le transfert de certains légumes cultivés à l’intérieur de la zone délimitée vers l’extérieur, afin de limiter la propagation de la bactérie.

Organisme nuisible: Bursaphelenchus xylophilus | Catégorie : Estimation du risque épidémiologique

Cette étude révèle que les pins, qui stockent 70 726 TgC (17,7 % du carbone forestier total), sont fortement menacés par le nématode du pin (B. xylophilus) et son coléoptère vecteur (Monochamus spp.). Depuis 1977, ce complexe invasif a causé un déficit de 1 857 TgC dans les forêts boréales, surpassant les pertes dues aux incendies. Avec les changements climatiques prévus, 78 % des forêts boréales eurasiatiques, dont 42 % protégées, sont en danger d’ici 2100. Ces pertes pourraient compromettre la dynamique mondiale du carbone et les objectifs de neutralité carbone.

Dans cette étude, la transmission du virus de la mosaïque du navet (TuMV) par les semences a été démontrée chez une espèce de Brassica (Brassicarapa ssp. perviridis cv. Tendergreen).

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