Épidémiosurveillance en Santé Végétale

Moteur de recherche VSI


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Organisme nuisible: Généralités | Catégorie : Estimation du risque épidémiologique

Dans cet article les auteurs abordent à travers une étude de la littérature et un atelier avec des experts, les difficultés du partage de l’information lors de collaboration entre différents domaines et niveaux de gouvernance, pour la protection des forêts face aux espèces envahissantes. Cinq thèmes clés pour la recherche et l'action ont été identifiés : 1) surmonter les obstacles au partage des connaissances, 2) évaluer les risques et avantages des méthodes de gestion, 3) utiliser les nouvelles technologies, 4) se concentrer sur les voies d'invasion comme les forêts urbaines et le commerce des pépinières, et 5) inclure différentes épistémologies et équité, notamment en engageant les peuples autochtones. La priorité de ces thèmes selon leur importance et leur faisabilité, révèle des écarts entre les priorités publiques et celles des experts, notamment concernant le rôle du commerce des pépinières. Ce travail aide à organiser les outils et stratégies pour gérer les espèces envahissantes en Amérique du Nord, en se concentrant sur des exemples comme l'agrile du frêne et le longicorne asiatique.

Cette étude combine analyses dendrochronologiques, isotopiques et télédétection par satellite pour détecter les signes de déclin forestier dans un peuplement de Pinus Pinea L. du sud de l'Italie, affecté par le parasite du pin Toumeyella parvicornis.

Cette étude démontre que Bursaphelenchus xylophilus peut être transmis dans les brindilles de pin par les aiguilles, dans un délai pouvant aller jusqu’à 12h (suivant leur inoculation sur des aiguilles de pin attachées).

Dans cette étude, le modèle BITE, couplé au modèle forestier iLand, a permis d’évaluer les impacts potentiels du nématode du pin dans un paysage forestier d’Europe centrale. L’analyse de sensibilité a montré que la dispersion et l’impact sur la végétation étaient des facteurs clés, tandis que la croissance de la population avait un effet mineur. Les simulations ont prédit une mortalité des pins de 40 à 95% et une perte de carbone de 1,3 à 4,2% par an, nécessitant de nouvelles stratégies pour gérer ces conséquences.

Voici une approche de modélisation de projection de l’aire de répartition potentielle d’Agrilus planipennis en fonction des conditions climatiques actuelles et de quatre scénarios de changement climatique sur la période 2041-2060. Les résultats issus de l’ensemble des modèles de distribution des espèces développés et basés sur les données de distribution récentes et trois algorithmes différents, indiquent que la majeure partie de l'Europe occidentale est climatiquement adaptée à A. planipennis.


Organisme nuisible: Spodoptera frugiperda | Catégorie : Méthode, outil et mesure de surveillance

Cette étude a utilisé plusieurs algorithmes pour proposer une méthodologie permettant d’identifier des sites spécifiques pour le déploiement du biocontrôle (parasitoïde Cotesia icipe) pour lutter contre Spodoptera frugiperda en Afrique. L’outil devrait être amélioré et adapté pour stimuler et accélérer l’adoption de technologies de gestion IPM dans les points chauds où se trouve la légionnaire d’automne.

Dans cette étude, le modèle BITE, couplé au modèle forestier iLand, a permis d’évaluer les impacts potentiels du nématode du pin dans un paysage forestier d’Europe centrale. L’analyse de sensibilité a montré que la dispersion et l’impact sur la végétation étaient des facteurs clés, tandis que la croissance de la population avait un effet mineur. Les simulations ont prédit une mortalité des pins de 40 à 95% et une perte de carbone de 1,3 à 4,2% par an, nécessitant de nouvelles stratégies pour gérer ces conséquences.


Organisme nuisible: Popillia japonica | Catégorie : Méthode et mesure de biocontrôle

Cet article traite des effets non ciblés des agents de lutte biologique (champignons et nématodes, respectivement Metarhizium robertsii 17/T02 et Heterorhabditis bacteriophora POP 16), utilisés pour lutter contre Popillia japonica, sur la faune du sol. Aucun effet négatif sur le biote non ciblé du sol n’a été constaté avec les agents de biocontrôle testés. Les parcelles traitées par H. bacteriophora POP 16 ont révélé une diminution significative du nombre de larves de P. japonica, contrairement aux parcelles traitées par le champignon enthomopathogène.


Organisme nuisible: Popillia japonica | Catégorie : Méthode et mesure de lutte

Cet article traite des effets non ciblés des agents de lutte biologique (champignons et nématodes, respectivement Metarhizium robertsii 17/T02 et Heterorhabditis bacteriophora POP 16), utilisés pour lutter contre Popillia japonica, sur la faune du sol. Aucun effet négatif sur le biote non ciblé du sol n’a été constaté avec les agents de biocontrôle testés. Les parcelles traitées par H. bacteriophora POP 16 ont révélé une diminution significative du nombre de larves de P. japonica, contrairement aux parcelles traitées par le champignon enthomopathogène.

Dans cette étude, le modèle BITE, couplé au modèle forestier iLand, a permis d’évaluer les impacts potentiels du nématode du pin dans un paysage forestier d’Europe centrale. L’analyse de sensibilité a montré que la dispersion et l’impact sur la végétation étaient des facteurs clés, tandis que la croissance de la population avait un effet mineur. Les simulations ont prédit une mortalité des pins de 40 à 95% et une perte de carbone de 1,3 à 4,2% par an, nécessitant de nouvelles stratégies pour gérer ces conséquences.